Témoignages de parents

Lors de l'évaluation des ateliers en décembre 2012, une question a été posée.  Voici le témoignage de quelques parents sur cette question.

Est-ce que l'École des parents a changé quelque chose chez moi?  chez mes enfants?

Oui, je trouve que j'ai plus confiance en moi.  J'ai plus de facilité à aider mon enfant en français et j'ai moins d'anxiété pour exprimer mes opinions.

Mes enfants sont contents que je puisse les aider avec leurs devoirs.  Je sens qu'ils sont fiers de maman et ils aiment faire des travaux avec moi. 

Depuis que je participe à l'École des parents, mon français s'est amélioré.  Je peux suivre une conversation fluide.  J'ai retrouvé ma confiance pour continuer mes études.  Quand mes enfants font leurs devoirs, je me sens à l'aise pour les aider.

Je suis plus organisée.  J'ai repris ma confiance en moi.  J'ai le goût de faire mieux, de revoir ma situation pour donner une vie meilleure à ma famille.  

 

Merci chers parents de votre confiance! Vos témoignages sont importants pour nous!

Fête de fin de session Automne 2012

Les parents étaient fiers de souligner leurs efforts!

L'équipe de l'École des parents avaient convier les groupes à fêter cela. 

 Diner convivial et très amusant!

Au menu:  Jeu, surprises et remise d'attestations de participation.

Une autre belle session se termine!

Les parents ont participé en grand nombre cet automne.  Au total, près de 35 parents étaient actifs dont près de 20 nouveaux!

Plusieurs sujets ont été abordés dont:

Comprendre le système scolaire et le bulletin.

Se situer dans la ville

Gestion du temps et du stress

La lecture et les enfants

Des thématiques intéressantes pour les parents!

Une fête de fin de session en plein air!

Une fête de fin de session en plein air!

L' École des parents a terminé la session de printemps le 22 juin 2012 en rassemblant ses quatre groupes de participantes pour une sortie avec L'Autre Montréal. Nous avons visité notre belle ville en passant par le Vieux Montréal et en remontant jusqu'au Mont-Royal.

Après un joyeux pique-nique sous les arbres, la remise des attestations de participation s'est déroulée sur l'esplanade du Mont-Royal. Il faisait beau et chaud et il y avait de la fierté dans l'air!

Lors de l'évaluation de la session, une participante explique ce qui s'est passé pour elle en venant à l'École des parents: 

"Mon but c'était améliorer mon français, mieux l’écrire. Ça m’a donné le goût d’aller à l’école quand j’ai commencé. J’ai compris qu’il y a quelque chose qui peut entrer, avant j’avais trop de chose dans ma tête, je  croyais pas que je pouvais apprendre. Je voulais de l’aide pour les devoirs, être avec d’autres parents, ça me fait du bien, apprendre avec elles et leur parler, apprendre des nouvelles choses. Depuis que je suis ici, cela m’a aidé à m’organiser, le matin, face à la routine, les enfants sont contents, ça encourage ma nièce et ma fille de rester à l’école, à finir son secondaire et peut-être même continuer. J’ai moins à la pousser pour se rendre à l’école tous les jours. Elle est plus motivée."

 Une participante raconte sa session:

"Au début, je voulais améliorer mon éducation pour mon enfant, face à l'aide aux devoirs, ça commençait à être complexe. J'avais le goût de voir si je pouvais balancer l'école et la maison. En voyant que c'était à mon rythme, ça m'a donnée le goût de retourner aux études et faire un métier. Je vois grand.

J'aime beaucoup être avec d'autres parents, je ne suis pas seule à vouloir s'améliorer, je ne me sens pas jugée, je vois que je peux, que j'ai la capacité d'apprendre et que je suis pas seule là-dedans. Je trouve intéressant comment le cours est donné. Ça me motive à changer davantage."

Plusieurs participantes ont terminé l'École de parents, elles ont un projet personnel.

Au moins 10 participantes vont terminer leur secondaire ou leur francisation au Centre St-Paul,

4 autres participantes ont envie de faire une démarche d'orientation. Une autre participante voulait travailler, elle s'est trouvée un emploi qui lui convenait.                               

On s'est quitté en se souhaitant un bel été avec les enfants et en se disant qu'on allait profiter de ce que la ville nous offrait avec le fleuve, les espaces verts, les festivals.

Notre but: 

Prendre du bon temps avec les enfants pendant le congé scolaire et profiter de l'été!

Le collège des partcipants: être entrepreneur et créer son emploi c'est possible

La rencontre du collège des participants du RESO: 23 mai 2012

Le collège des participants c'est une grande rencontre des membres du RESO où l'on donne son opinion et ses idées sur comment on peut améliorer le Sud-Ouest et sur ce que le RESO peut faire. 

L'École des parents a participé activement aux discussions qui portait sur l'entrepreneuriat ou le développement de son entreprise. 

Un entrepreneur est venu échanger avec nous, il a témoigné de son expérience. D'abord décrocheur, il a décidé de retourner à l'école apprendre le métier de maçon. Après 5 ans de travail,  il a créé son entreprise qui aujourd'hui embauche des maçons. Il a parlé du profil de l'entrepreneur et comment il a surmonté les obstacles.

La semaine de la formation aux adultes

La semaine du 27 mars 2012, on fête en grand

Nous étions nombreux pour représenter le Sud Ouest:  

le Carrefour jeunes emploi du Sud Ouest, 

la formation générale du RESO, le groupe d'ExplorAction, 

de l'École des parents, de Cuisine-Atout, de Formétal et plus encore...

 Mot de bienvenue

Le maire de l'arrondissement du Sud Ouest, 

Benoit Dorais était là pour encourager.

 Nous voici, fiers représentants de l'École des parents.

Sakheoun Loth, une participante de l'École des parents a gagner une bourse 

pour souligner sa persévérance scolaire et son implication.

La nutrition

L'École des parents a travaillé sur la nutrition lors de ses ateliers.  Voici certaines recettes de nos participants! 

Ma recette

Poulet au beurre d arachide accompagné avec le riz

Ingrédients

Poulet en morceaux

De l’huile

Tomates fraîches

Beurre d’arachide pure

Oignons

Ail

Sel

Frire les morceaux de poulet et les mettre de côté, mettre un peu d’huile sur la poêle, la chauffer et ensuite ajouter les oignons finement coupés, de l’ail et les tomates écrasées et les cuire ensemble à feu doux. Mélanger le beurre d’arachide avec de l’eau et le rajouter dans la sauce. Enfin, mettre dans la marmite les morceaux de poulet, la sauce. Laisser cuire 10 minutes et c’est prêt.

Par Caroline Musasa Malobo

Activités éducatives amusantes pour les enfants

La souris web;  vous connaissez?

Vos enfants s'amuseront sur site Internet tout en apprenant: ce n'est pas formidable?

On pratique son français, les mathématiques, son anglais et d'autres matières.   On peut dessiner, construire des maisons, créer.

Le tout est classé par cycle du primaire, du premier au troisième.

Faire du bénévolat: c'est plus qu'important!

Lorsqu'on donne, quelques heures de son temps, ce n'est pas seulement pour les autres...

On en retire, bien évidemment beaucoup de reconnaissance et ça fait chaud au coeur...  Mais c'est aussi, une des meilleures façons d'acquérir de l'expérience qui peut bonifier votre parcours professionnel.

S'impliquer dans sa communauté, c'est démontrer un intérêt et aider son prochain.  C'est aussi une façon de connaître la «culture» du travail: par exemple, comment doit-on interagir avec les autres, comment travailler en équipe.

C'est aussi, une bonne occasion de valider ce que l'on voudrait faire comme type de boulot! On prend  le temps d'observer autour et répondre à ses propres questions que personne d'autre,  peut répondre:

«Est-ce que j'aimerais vraiment travailler dans ce genre d'organisme ?»  

«Je dois répondre au téléphone à la réception, est-ce que j'aime vraiment ça ?»  

«Être  avec les personnes aînées: je pense que je me sens vraiment à l'aise OU tout au contraire, je ne me sens pas confortable!»

C'est toujours gagnant: 

On aide les autres
On augmente notre estime de soi
On valide ce qui nous intéresse vraiment pour un travail futur ou pourquoi pas, retourner aux études et connaître ce que nous voulons faire de notre futur professionnel!

Le site qui est vraiment intéressant à connaître pour trouver des offres de bénévolat dans tout le Grand Montréal:  le centre d'action bénévole de Montréal.

Allez voir, ça vaut le détour!

Apprendre à bien manger !

Pour aider votre enfant à développer de bonnes habitudes alimentaires, présentez-lui des aliments nutritifs et ayez une attitude positive.  

Votre enfant apprend par mimétisme (en vous imitant), donnez le bon exemple à table !


Trois repas et des collations

Établissez des heures régulières de repas et de collation qui conviennent à votre enfant et à toute la famille.

Quoi de mieux qu'un bon repas en famille lorsque votre enfant a de l’appétit et que son attention est tout entière à son assiette ! Ce rituel de repas sécurise l’enfant et le prédispose à une plus grande ouverture d’esprit vis-à-vis des aliments.


Une assiette équilibrée

Faites découvrir à votre enfant le monde des aliments à travers les couleurs, les textures et les saveurs! Inculquez-lui le plaisir de manger avec des aliments provenant de chacun des quatre groupes alimentaires. C’est à ce moment que vous devez prendre votre rôle au sérieux et montrer ce qu’il faut faire!

Les boissons gazeuses et les sucreries peuvent faire partie d'un régime équilibré si elles sont consommées occasionnellement, par exemple à une fête d'enfants.

Vive la variété !

Encouragez votre enfant à essayer différents aliments. Éviter la monotonie, car elle banalise le plaisir de manger.

Un petit truc: invitez-le à acheter, à préparer ou à servir un nouvel aliment avec vous. Ensuite, offrez-lui-en une petite quantité, sans l'obliger à le manger.

Soyez soucieux de la variété des aliments, mais aussi du choix des couleurs et des textures des aliments servis.

À l'écoute de son appétit

Apprenez à votre enfant à écouter son corps. Laissez-le se servir la quantité d'aliments qu'il désire manger. S'il n'a plus faim, ne le forcez pas à finir son assiette. Offrez-lui la qualité et laissez-le décider de la quantité.

Particip… action

Faites participer votre enfant à l'achat des aliments, à la préparation des mets et au service à table. C'est la meilleure façon de l'intéresser à son alimentation.

Ambiance harmonieuse et agréable à table!

Mangez en famille, dans un environnement calme, sans télévision ou autres distractions pouvant détourner l'attention de votre enfant de son assiette et de sa faim. Faites plutôt en sorte qu’il prenne part aux discussions familiales. Ainsi, les repas deviendront pour lui une activité agréable.

Non au chantage

Évitez de récompenser votre enfant à l'aide d'un aliment. Une préférence alimentaire se développera alors pour cet aliment, souvent riche en matières grasses et en sucre.

Forcer votre enfant à manger ses légumes s'il veut sortir de table n'est pas non plus une bonne idée. Son attirance et son goût pour les légumes ne feront que diminuer.

«Allez, on mange !!» Mais il refuse...

Ce genre de situation : ça vous dit quelque chose?  Vous reconnaissez-vous?

S’ils répondaient aux caprices de leur enfant, certains parents bâtiraient un menu autour des croquettes de poulet, du spaghetti… et encore des croquettes de poulet!


Mais, autant pour leur santé que pour les aider à développer leurs goûts, ce genre de menu n’est pas souhaitable. Comment agir avec un enfant difficile?

Apprécier les aliments, ça s’apprend!

Aimer les saveurs sucrées et salées est inné. Apprécier l’amer et l’acide découle d’un apprentissage. Plusieurs raisons expliquent les réticences que certains enfants manifestent devant de nouveaux aliments.

•    Il est naturel pour plusieurs enfants de d’abord rejeter un aliment nouveau (on appelle cela la « néophobie ») et ensuite de l’apprivoiser à son rythme.
•    Les capteurs sensoriels présents dans la bouche des petits sont plus nombreux et plus sensibles que ceux des adultes. Cela rend leurs expériences gustatives plus intenses.
•    La capacité de mastication des jeunes enfants est limitée. Les textures représentent souvent un obstacle à leur appréciation de certains aliments granuleux, croquants ou fibreux.
En moyenne, un enfant a besoin de 7 « contacts » avec un nouvel aliment pour le manger et l’apprécier. À certains, il en faudra le double. Gardez espoir et continuez à présenter de nouveaux aliments à votre enfant. C’est à force de répétitions qu’un aliment devient familier.
Ingrédient clé : le plaisir
Le contexte dans lequel se fait une expérience alimentaire influence le fait que l’enfant veuille – ou non – la renouveler. Il doit donc être positif.
•    Ne forcez pas. Contentez-vous de présenter les aliments et de proposer d’y goûter.
•    Dites à votre enfant qu’il s’agit d’un aliment « de grand » et qu’il est peut-être encore trop petit pour l’apprécier. Son intérêt risque de s’aiguiser!
•    Mangez vous-même les aliments méconnus, et manifestez votre appréciation. Prêchez par l’exemple!

Un seul menu

Pour « acheter la paix » et par souci qu’un enfant mange suffisamment, un parent pourrait être tenté de lui préparer un repas spécial. Cette solution – à court terme – est à éviter, car elle risque d’encourager son attitude réfractaire. À long terme, l’enfant pourrait devenir de plus en plus exigeant et difficile. Voici quelques « trucs » pour faciliter l’introduction de nouveaux aliments et agrémenter les découvertes :

•    Introduisez un seul aliment nouveau par repas, afin que l’enfant se sente en confiance et qu’il ait de quoi combler sa faim s’il n’aime pas « l’intrus »!
•    Impliquez votre enfant dans le choix et la préparation des repas. S’il a lui-même mis un nouveau légume dans le panier d’épicerie ou s’il a versé des ingrédients dans la recette, il sera fier et plus enclin à y goûter.
•    Garnissez son assiette d’au moins deux légumes différents afin qu’il sente qu’il a un choix… et un certain pouvoir!
•    Coupez le nouvel aliment en petites bouchées afin que l’enfant sache qu’il peut l’apprivoiser progressivement.
•    Évitez les collations moins de 2 heures avant le repas; tout est meilleur quand on a vraiment faim.
•    Offrez-lui un dessert (une portion, pas 2 ou 3 cependant) même s’il ne vide pas son assiette. Évitez de présenter le dessert comme une récompense, car cela risque d’entretenir son opinion négative du plat principal.
•    Encouragez votre enfant, félicitez-le de ses efforts et évitez les critiques et les punitions en lien avec les aliments.

Équilibrer les repas

Le dessert peut être l’occasion de compléter un repas mal équilibré. Si votre enfant n’a pas mangé ses légumes, offrez-lui une salade de fruits frais et colorés. S’il a refusé sa viande, pensez au yogourt, à un verre de lait ou à une mousse au tofu pour lui fournir des protéines. S’il a laissé ses pâtes alimentaires ou son riz intacts, un muffin maison sera le « représentant » des produits céréaliers.
Les enfants sont parfois imprévisibles. Ils peuvent aimer un aliment une journée et refuser d’en manger quelques jours plus tard. Ne mettez pas trop de pression sur votre petite « girouette » et continuez d’offrir un menu varié. Les habitudes alimentaires auxquelles il aura été exposé dans sa tendre enfance l’influenceront toute sa vie.

SOURCE: Contenu appartenant à Extenso, Centre de référence sur la nutrition humaine. février 2011

On vous décourage parfois ???

Comment avez-vous réagi?

«On m’a déjà découragé pour un travail dans une garderie en me donnant toutes sortes d’information… il faut vérifier ce qu’on nous dit.»

 «Quand j’ai eu des difficultés, je me suis renfermée, je me suis calée, je n’étais pas dans la recherche de  solutions puis après je ne suis mise en recherche de solutions et j’en ai trouvé.»

Quand on parle de persévérance, à quels mots, vous pensez?

                                                               Difficultés

                                    Réussite
Continuer                                                 Objectifs

Avoir de la motivation                                                     Obstacles

Confiance                                                                                          Lâcher prise ?                                                                                     Long terme
   
Pas lâcher                                        Estime de soi                     But
                                       Gagner                    

Patience
                                                                    Travailler sur soi                        Réussite
                       Force                 

              Espoir

Un but

                                                   Améliorer sa situation

Comment encouragez-vous vos enfants à persévérer à l’école?

Le 13 février dernier, lors de la causerie sur la persévérance scolaire, nous étions une quinzaine de personnes à discuter ensemble.


On a trouvé des moyens pour prendre les moyens à être persévérant:

•    On s’implique, ont s’informe sur les devoirs, ont lit avec eux.

•    J’ai une routine avec mon enfant. En revenant de l’école, nous jouons à des jeux ensemble ou bien il dessine pour se détendre, ensuite on mange ensemble puis on fait les devoirs. Mon enfant est plus disponible, plus en forme après souper.

•    Il faut être à l’écoute du rythme de son enfant et trouver le bon moment pour faire les devoirs et les leçons.

•    J’encourage mon enfant à faire du sport après l’école, ça aide à décompresser. Les enfants viennent stressés, faut les aider à se détendre, ça aide à se concentrer après. On est plus calme.

•    Quand mon enfant dit qu’il n’est pas capable, je lui dis de toujours essayer : Essaie, fais ton possible. Je le pousse à faire des efforts, à ne pas lâcher.

•    Moi, j’encourage mes enfants, je reconnais ce qu’ils font de bien et les efforts qu’ils ont fait. Je les complimente, ça les encourage.

•    Je lui dis « Continue, tu es le meilleur, je suis fière de toi!

•    Je l’encourage : «  Tu es un bon garçon. » J’essaie de le récompenser.

•    Je lui dis, si tu veux aider ta maman et avoir une maison un jour, tu peux étudier, même devenir médecin plus tard ou faire un métier que tu aimes et avoir une bonne vie.

•    Je lui explique qu’il faut avoir des rêves et que pour les réaliser il faut faire des efforts, ne pas lâcher, ça prend du temps pour les réaliser.

•    J’encourage toujours mes enfants, « Vas-y mon homme, tu es capable! »

•    Il faut être à l’écoute de ses enfants, prendre le temps de leur parler, de les comprendre et d’échanger pour les encourager.

Info-parents: pour répondre à toutes vos questions!

Info-parents : 514 596-CSD M (2736)

Mise sur pied spécialement pour les parents, la ligne Info-parents
514 596-CSDM (2736) est en fonction du lundi au jeudi, entre 11 h
et 15 h.

Une personne attentive répond directement aux appels.

Notez que la ligne est munie d’une boîte vocale en dehors des
heures d’ouverture

Les objectifs du service :Le service informe sur ce qui concerne  l’école, les règles administratives, le fonctionnement, les services.

Toutes les questions sont bonnes: 
Votre enfant a des besoins?
Vous cherchez des ressources à l’école?
Vous avez des difficultés avec l’école de votre enfant?

Les dessins de Jason, le fils de Michel

Confronter les obstacles

L’allégorie de la grenouille

Il était une fois une course ... de grenouilles  L’objectif était d’arriver en haut d’une grande tour.  Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir.

La course commença. En fait, les gens ne croyaient pas possible que les grenouilles atteignent la cime et toutes les phrases que l’on entendit furent de ce genre : "Inutile !!! Elles n’y arriveront jamais!"

Les grenouilles commencèrent peu à peu à se décourager, sauf une qui continua de grimper et les gens continuaient :

"... Vraiment pas la peine !!! Elles n’y arriveront jamais!..."

Et les grenouilles s’avouèrent vaincues, sauf une qui continuait envers et contre tout …

A la fin, toutes abandonnèrent, sauf cette grenouille qui, seule et au prix d'un énorme effort, rejoignit la cime.   Les autres, stupéfaites, voulurent savoir comment elle avait fait.  L’une d’entre elles s’approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l’épreuve.  Et découvrit qu’elle... était sourde ! ...

N'écoutez donc pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d’être négatives ... car elles volent les meilleurs espoirs de votre cœur!

Rappelez-vous du pouvoir qu’ont les mots que vous entendez ou que vous lisez. et soyez TOUJOURS POSITIF !

En résumé : Soyez toujours sourd quand quelqu’un vous dit  que vous ne pouvez réaliser vos rêves.

On est heureux de faire le lancement du blogue!

 

On regarde ensemble le tout nouveau blogue!

Plein de liens Internet intéressants s'y trouvent pour les parents.

Comment se présenter en texte ?

Parfois, c'est facile d'écrire et de se voir.  Des fois, c'est difficile ou on n'a pas le temps de le faire.  En atelier, on s'arrête pour réfléchir.

Souvent, on ne prend pas le temps de réfléchir, de peur de perdre du temps...

Et pourtant, s'arrêter parfois pour se poser des questions, nous fait avancer encore plus vite vers nos projets personnels !!!

On commence par quoi ?

D'accord, je fais ce que l'on me propose, je trouverai bien une manière bien à moi, de me présenter.







 

Arabe, français: un monde, un océan de différences...

(cliquez sur la photo pour lire le texte)

On lit ensemble, c'est encourageant...

« J'encourage mon fils tout le temps. Quand il dit maman je ne suis pas capable, je dis toujours tu es capable.

Je joue avec mon fils.

On lit ensemble.

J'aide mon fils pour les devoirs.»

Ghazala

Je continue toujours à l'encourager!

« Je l'encourage en lui disant que maman va à l'école pour apprendre, avoir un bon travail stable pour pouvoir nous offrir une vie confortable.»      

Stéphanie

J'encourage mon petit garçon pour l'école

«J'encourage mon enfant à l'école en lui disant de bien étudier parce que les études, c'est l'une des clés de la réussite.

En étudiant, tu assures ta vie professionnelle en devenant un cadre de demain et au futur, tu aideras tes enfants dans leur parcours scolaire.»      

Mariam

Je persévère, je me sens plus confiante

Je m'appelle Marleny.  J'ai 32 ans.  Je suis mariée.  J'ai 3 enfants : ma fille aînée a 10 ans, mon fils a 6 ans et ma  petite dernière a 16 mois.   J’étais comptable dans mon pays avant d’arriver ici, au Québec.  Je viens de la Bolivie.

Depuis que mon fils est né,  j’ai toujours voulu retourner aux études mais malheureusement je suis retournée travailler la nuit.  Quand mon fils est rentré à l'école, je me suis dit que c'était le bon moment pour moi-même pour retourner aux études.  Au même moment, ma fille aînée présentait des difficultés à l'école avec le français.  Heureusement, comme je travaillais la nuit, j'avais le temps pour l'aider avec ses devoirs à son retour de l’école.

Malgré tous les obstacles que j'avais, je me suis inscrite à un cours d'anglais parce que dans mon travail j'en avais  besoin. Je prenais mon cours la matin jusqu’à 13h00 et je travaillais toujours de nuit.  À la naissance de mon 3ème enfant, je me disais que je ne pouvais pas rester comme ça.  Il fallait continuer mon parcours mais avec 3 enfants, au début, c'était très difficile.

Quand j'ai vu la publicité de l'École des parents dans le journal, c'était comme une lumière dans l'obscurité parce que ça parlait de cours en français, en mathématiques et en informatique.

Marleny, lisant son touchant témoignage:  Bravo, malgré ta timidité, tu t'es levé fièrement pour t'exprimer:  Quel parcours!

Depuis que je suis à l'École des parents, je me sens plus confiante.  Je peux mieux comprendre et aider mes enfants avec leurs devoirs.  Les devoirs au Québec ne sont pas comme dans mon pays. Quand mes enfants ont des devoirs, je lis leurs leçons pour leur poser des questions.  Souvent, on fait des dictées pour qu'ils puissent être à l'aise quand ils lisent.  Ma grande fille me corrige parfois.  Dans les ateliers, j’ai appris beaucoup de choses qui m'aident dans la vie de tous les jours. 

De plus, j'ai vu changer ma situation de vie parce qu'en venant à l’École des parents, je me suis fait des amies avec qui je peux parler en français.  Aussi, je révise ce que j'avais appris à l'école quand j'étais jeune.

De plus en plus, j'ai confiance en moi.  Je commence à écrire mieux le français et ça m’aidera à poursuivre mes études.

Merci!